Signaux physiques (PCSI)/Propagation d'un signal : Onde progressive sinusoïdale

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Modèle:Chapitre

Cas particulier d'une onde progressive sinusoïdale (ou harmonique) dans le cas d'une propagation unidimensionnelle linéaire non dispersive

Définition d'une O.P.H.

Modèle:Définition

Modèle:AlDans le cas d'une propagation unidimensionnelle linéaire

(

non dispersive

)

, une « onde progressive sinusoïdale » [1] le long de l'axe

Ox

est une onde sinusoïdale du type

«s(x,t)= A(x)cos[ωt+φ(x)]»[2] telle que

Modèle:Alla « vibration observée à toute abscisse

x>0

reproduit la vibration observée en

x=0

avec le retard temporel

τ=±xc

»[3] suivant que la propagation se fait dans le sens

(

ou

)

de l'axe

Ox

 :

  • dans le cas d'une propagation unidimensionnelle linéaire (non dispersive) dans le sens des x, l'O.P.H.[4] de pulsation ω s'écrit
    «s(x,t)=s(0,tτ)= s(0,t|τ|)=A0cos[ω(txc)+φ0]» ;
  • dans le cas d'une propagation unidimensionnelle linéaire (non dispersive) dans le sens des x, l'O.P.H.[4] de pulsation ω s'écrit
    «s(x,t)=s(0,tτ)= s(0,t+|τ|)=A0cos[ω(t+xc)+φ0]».

Notion de pulsation spatiale, vecteur d'onde

Modèle:AlL'O.P.H.[4] étant une fonction sinusoïdale de la variable txc[5], peut se réécrire, après développement de l'argument du cosinus, selon «s(x,t)= A0cos[ωtωcx+φ0]»[5] ; on en déduit que l'O.P.H.[4] est une fonction sinusoïdale à la fois :

  • du tempst (pour x fixé) avec une pulsation temporelleω,
  • de la variable spatialex (pour t fixé) avec une pulsation spatialek=ωc[6] ;

Modèle:Alon réécrit alors l'O.P.H.[4] «s(x,t)=A0cos[ωtkx+φ0]»[5].

On parle alors de « double périodicité spatio-temporelle » de l'onde.

Modèle:Définition

Périodicité temporelle de l'onde progressive sinusoïdale (O.P.H.), période et fréquence

Modèle:Al« À

x

fixé », l'O.P.H.[4] s'écrivant «

s(x,t)=A0cos[ωt+φ(x)]

» avec «

φ(x)=kx+φ0

»[5] est périodique de période temporelle

T=2πω

et
Modèle:AlModèle:Transparentde fréquence temporelle

f=1T=ω2π

 ;
Modèle:AlModèle:Transparentl'O.P.H.[4] peut alors se réécrire

«s(x,t)=A0cos[2πtT+φ(x)]=A0cos[2πft+φ(x)]».

Périodicité spatiale de l'onde progressive sinusoïdale (O.P.H.), longueur d'onde et nombre d'onde

Modèle:Al« À

t

fixé », l'O.P.H.[4] s'écrivant «

s(x,t)=A0cos[kx+ψ(t)]

»[5]Modèle:,[7] avec «

ψ(t)=ωt+φ0

» est périodique de période spatiale

λ=2πk (

c.-à-d. « longueur d'onde » en

m)

et
Modèle:AlModèle:Transparentde fréquence spatiale

σ=1λ=k2π (

c.-à-d. « nombre d'onde » en

m1)

 ;
Modèle:AlModèle:Transparentl'O.P.H.[4] peut alors se réécrire

«s(x,t)=A0cos[2πxλ+ψ(t)]=A0cos[2πσx+ψ(t)]»[5].

Modèle:AlLe vecteur d'onde peut être écrit selon

«k=±kux=±2πλux=±2πσux»[3].

Lien entre longueur d'onde, fréquence (temporelle) et célérité pour une O.P.H.

Modèle:AlLa pulsation spatiale k étant liée à la pulsation temporelle ω et la célérité de propagation c par «k=ωc», nous en déduisons la « période spatiale (ou longueur d'onde)» «λ=2πk=2πωc= 2πωc» soit, compte tenu de la définition de la période temporelle «T=2πω», la relation «λ=cT». Modèle:Proposition

Modèle:AlOn en déduit aussi la longueur d'onde

λ

en fonction de la fréquence

(

temporelle

)f

et la célérité de propagation

c

selon

«λ=cf».

Modèle:AlEn conclusion : On peut trouver toutes les grandeurs relatives à la périodicité spatio-temporelle de l'O.P.H.[4] quand on connaît l'une d'entre elles et la célérité de propagation, en effet :

Modèle:Remarque

Modèle:AlL'O.P.H.[4] peut alors se réécrire selon l'une de ses trois formes équivalentes :

«s(x,t)={A0cos[2π(tTxλ)+φ0]A0cos[2π(ftσx)+φ0]A0cos[ωtkx+φ0]»[5].

Notion de déphasage de l'onde entre des points séparés d'une distance finie au même instant

Définition

Déphasage de l'onde sinusoïdale entre deux points au même instant dans le cas d'une propagation dans le sens +
Déphasage de l'onde sinusoïdale entre deux points au même instant dans le cas d'une propagation dans le sens

Modèle:AlLa phase initiale du signal transporté par l'O.P.H.[4] à l'abscisse

x

étant «

φ(x)=φ0kx=φ02πλx

»[5]


Modèle:Alle signal au point d'abscisse

x1

est déphasé, par rapport au signal considéré au même instant au point d'abscisse

x0

, de

«Δφ=φ(x1)φ(x0)=k(x1x0)=2πλ(x1x0)=2πλΔx»[5] (avec Δx=x1x0)[8] ;


Modèle:Alce résultat se retrouve facilement par des considérations physiques :

  • si x1>x0 et si la propagation se fait dans le sens des x, « le signal en x1 est, sur le signal en x0 considéré au même instant, en retard temporel de τ=x1x0c=Δxc» (en notant Δx=x1x0), ce qui se traduit par le déphasage «Δφ =φ(x1)φ(x0)=2πτT=2πΔxcT» qui se réécrit «φ(x1)φ(x0)= 2πλΔx» {voir ci-contre},


  • si x1>x0 et si la propagation se fait dans le sens des x, « le signal en x1 est, sur le signal en x0 considéré au même instant, en retard temporel de τ=x1x0c=Δxc» (en notant Δx=x1x0), ce qui se traduit par le déphasage Modèle:Nobr =φ(x1)φ(x0)=2πτT=2πΔxcT qui se réécrit φ(x1)φ(x0) =2πλΔx» {voir ci-contre}.

Condition pour les signaux considérés au même instant en deux points d'abscisses différentes soient en phase

Modèle:AlLa condition pour laquelle les vibrations aux deux points d'abscisse

x0

et

x1

considérées au même instant soient en phase s'écrit «

Δφ=φ(x1)φ(x0)=p2π,p*

» soit, en utilisant le déphasage explicité ci-dessus,

«Δx=x1x0=pλ,p*»[9].

Modèle:Remarque

Condition pour les signaux considérés au même instant en deux points d'abscisses différentes soient en opposition de phase

Modèle:AlLa condition pour laquelle les vibrations aux deux points d'abscisse

x0

et

x1

considérées au même instant soient en opposition de phase s'écrit «

Δφ=φ(x1)φ(x0)=(p+12)2π

avec

p

» soit, en utilisant le déphasage explicité ci-dessus,

«Δx=x1x0=(p+12)λ,p»[10].

Modèle:Remarque

Notion de déphasage de l'onde entre des instants écartés d'une durée finie (au même endroit)

Préliminaire à la définition

Modèle:AlLe signal transporté par l'O.P.H.[4] au point d'abscisse

x

et à l'instant

t

s'écrivant «

s(x,t)=A0cos[kx+ψ1(t)]

»[5], avec «

ψ1(t)=ωt+φ0

», soit

«s(x,t)={A0cos[kxψ1(t)]si propagation dans le sens des xA0cos[kx+ψ1(t)]si propagation dans le sens des x»,

Modèle:Alnous définissons le déphasage après avoir mis le signal sous la forme «

s(x,t)=A0cos[kx+ψ(t)]

»[11], avec «

ψ(t)={ψ1(t)=ωt+φ0si propagation dans le sens des xψ1(t)=ωtφ0si propagation dans le sens des x

».

Définition

Déphasage de l'onde sinusoïdale entre deux instants au même point

Modèle:AlAu lieu d'envisager le signal transporté par l'onde au même instant mais en deux points différents, on considère le signal transporté par l'onde au même endroit mais à deux instants différents

t1

et

t0

, sachant que la phase initiale du signal transporté par l'O.P.H.[4] à l'instant

t

est défini selon «

ψ(t)=ωtφ0= 2πTtφ0

»[5]Modèle:,[12], on en déduit que le signal à l'instant

t1

est déphasé par rapport au signal à l'instant

t0

considéré au même point de

«Δψ= ψ(t1)ψ(t0)= ω(t1t0)=2πT(t1t0)=2πTΔt»[5] (en notant Δt=t1t0) ;

Modèle:Alce résultat peut se retrouver par des considérations physiques :

  • si t1>t0 et si la propagation se fait dans le sens des x, « le signal à t1 en l'abscisse x est identique au signal à t0 en l'abscisse xδδ=c(t1t0)=cΔt (en notant Δt=t1t0) est la distance parcourue pendant la durée écoulée entre t0 et t1», le déphasage «Δψ=ψ(t1)ψ(t0)=2πδλ= 2πcΔtcT»[13] que l'on peut réécrire «ψ(t1)ψ(t0)=2πTΔt»,
  • si t1>t0 et si la propagation se fait dans le sens des x, « le signal à t1 en l'abscisse x est identique au signal à t0 en l'abscisse xδδ= c(t1t0)=cΔt (en notant Δt=t1t0) est la distance parcourue pendant la durée écoulée entre t0 et t1», le déphasage «Δψ=ψ(t1)ψ(t0)=2πδλ=2πcΔtcT»[14] que l'on peut réécrire «ψ(t1)ψ(t0)=2πTΔt».

Étude expérimentale, mesure de la célérité, de la longueur d'onde et du déphasage d'une O.P.H.

Principe de la mesure de la célérité de propagation dans un milieu unidimensionnel, exemple de la détermination expérimentale de la célérité du son dans l'air

Dispositif expérimental pour la mesure de la célérité du son dans l'air
Enregistrement permettant de déduire la célérité du son dans l'air

Modèle:AlOn dispose deux microphones à la distance d l'un de l'autre, l'onde sonore utilisée étant créée dans l'alignement de ces deux microphones[15] ;
Modèle:All'onde sonore correspond par exemple à un coup donné sur un socle en bois, le signal capté par le 1er microphone étant envoyé sur la voie CH1 d'un oscilloscope numérique et celui capté par le 2ème microphone sur la voie CH2 du même oscilloscope numérique Modèle:Nobr ci-contre à gauche) ;

Modèle:Alle signal capté par le 1er microphone étant choisi comme source de déclenchement à l'enregistrement « monocoup » de l'oscilloscope[16], on observe l'enregistrement ci-contre à droite :

Modèle:Alla distance d étant mesurée avec précision (emploi d'un banc Modèle:Nobr et le retard temporel τ étant également connu avec précision Modèle:Nobr estime aisément cette dernière par déplacement de curseurs verticaux sur l'oscilloscope[17]), on peut évaluer la célérité du son dans l'air par «c=dτ»[18].

Principe de la mesure de la longueur d'onde d'une O.P.H. dans un milieu unidimensionnel, exemple d'une O.P.H. ultrasonore dans l'air

Dispositif expérimental pour la mesure de la longueur d'onde d'une O.P.H.[4] ultrasonore dans l'air

Modèle:AlUn émetteur d'ultrasons étant alimenté par un G.B.F.[19] à une fréquence f=44,0kHz[20], deux récepteurs sont placés sur un même banc, quasiment dans l'alignement avec l'émetteur, le 1er étant fixe et le 2ème mobile, les signaux reçus par chacun d'eux étant repérés respectivement sur les voies CH1 et CH2 d'un oscilloscope numérique ;
Modèle:Alsans réglage préalable sur le récepteur 2 proche du récepteur 1, on observe a priori un déphasage entre ces deux signaux[21] ;
Modèle:Alon déplace le récepteur 2 de façon à ce que les signaux soient en phase[22], on repère alors la position du récepteur 2 notée x20, et
Modèle:Alon poursuit le déplacement en recherchant les positions correspondant aux signaux en phase jusqu'à une nème position notée x2n ;
Modèle:Al« la distance x2nx20 s'identifie alors à nλ», ce qui permet d'en déduire la longueur d'onde de l'O.P.H.[4] ultrasonore avec une précision d'autant meilleure que n peut être grand ;
Modèle:Alconnaissant la fréquence de l'onde on en déduit la célérité de propagation dans l'air par «c=λf».

Principe de la mesure d'un déphasage d'une O.P.H. enregistrée en deux positions distinctes du milieu unidimensionnel, exemple d'une O.P.H. ultrasonore dans l'air

Modèle:AlOn reprend le montage précédent et, sans effectuer de réglage a priori, les signaux enregistrés sur les voies CH1 et CH2 de l'oscilloscope sont déphasés {bien que le signal reçu par le récepteur 2 soit « mathématiquement » en retard de phase sur le signal reçu par le récepteur 1, il peut être « physiquement » en retard ou en avance et c'est uniquement ce déphasage que l'on mesure directement en fonctionnement (y,t) de l'oscilloscope} ;

Modèle:Alon détermine le décalage « physique » temporel

Δt

par curseurs de temps[17] et on en déduit l'avance de phase « physique » du signal

1

sur le signal

2

par

«Δφphys=(φ1φ2)phys= ±2π(ΔtT)[3]Modèle:,[23] en rad» ou
«Δφphys=(φ1φ2)phys=±360(ΔtT)[3]Modèle:,[23] en °».Modèle:Al

Modèle:Remarque

Notes et références

  1. Ou onde progressive harmonique noté O.P.H. en abrégé.
  2. Le caractère « linéaire » de la propagation (conservation de la forme du signal lors de la propagation) est effectivement vérifié sur cette onde et
    Modèle:Alson caractère « non dispersif » (célérité de la propagation indépendante de la fréquence) n'apparaît pas dans la mesure où la fréquence d'une onde sinusoïdale ne varie pas (raison pour laquelle « non dispersive » a été mis entre parenthèses).
  3. 3,0 3,1 3,2 et 3,3 «+» si la propagation est dans le sens des x et «» si elle est dans le sens des x.
  4. 4,00 4,01 4,02 4,03 4,04 4,05 4,06 4,07 4,08 4,09 4,10 4,11 4,12 4,13 4,14 et 4,15 Onde Progressive Harmonique.
  5. 5,00 5,01 5,02 5,03 5,04 5,05 5,06 5,07 5,08 5,09 5,10 et 5,11 «» si la propagation est dans le sens des x et «+» si elle est dans le sens des x.
  6. La pulsation « spatiale » est, comme la pulsation temporelle, toujours >0, elle s'exprime en radm1.
  7. Si la propagation se fait dans le sens des x, s(x,t)=A0cos[kx+ψ(t)]=A0cos[kxψ(t)] (cette dernière expression pour que le cœfficient de x soit >0), la phase « initiale » (c.-à-d. en x=0) est alors ψ(t) alors que
    Modèle:Alsi la propagation se fait dans le sens des x, s(x,t)=A0cos[kx+ψ(t)], la phase « initiale » (c.-à-d. en x=0) est ψ(t).
  8. Si la propagation se fait selon les x et si x1>x0 (c.-à-d. Δx>0), Δφ=φ(x1)φ(x0)=2πλΔx<0 et par suite le signal en x1 est mathématiquement en « retard de phase » sur le signal en x0 mais non nécessairement physiquement [en effet le déphasage physique étant défini à 2π près, nous prenons sa détermination principale c.-à-d. celle dont la valeur absolue du reste est la plus petite lors de la division par 2π, exemple Δφ =φ(x1)φ(x0)=3π2 admet pour détermination principale π2 signal en x1 physiquement en avance de phase sur le signal en x0] ;
    Modèle:Alsi la propagation se fait selon les x et si x1>x0 (c.-à-d. Δx>0), Δφ=φ(x1)φ(x0)=2πλΔx>0 et par suite le signal en x1 est mathématiquement en « avance de phase » sur le signal en x0 mais non nécessairement physiquement [même commentaire que ci-dessus].
  9. Avec p=p «» si la propagation se fait dans le sens des x et «+» si elle se fait dans le sens des x.
  10. Avec p+12=(p+12), «» si la propagation se fait dans le sens des x soit p=(p+1) et «+» si elle se fait dans le sens des x soit p=p.
  11. Dans le but d'avoir une forme analogue à «s(x,t)=A0cos[ωt+φ(x)]», le cœfficient de la variable temporelle ou spatiale étant la pulsation temporelle ω ou spatiale k.
  12. Dans le cas d'une propagation dans le sens des x (respectivement x), l'O.P.H. est écrite sous la même forme s(x,t)=A0cos[kx+ψ(t)].
  13. On rappelle que le signal est mis sous la forme s(x,t)=A0cos[kx+ψ(t)] avec ψ(t)=ωtφ0 «s(x,t1)= A0cos[kx+ψ(t1)]=s(xδ,t0)=A0cos[k(xδ)+ψ(t0)]» d'où «[kx+ψ(t1)][k(xδ)+ψ(t0)]=0» «ψ(t1)ψ(t0) =kδ»
  14. On rappelle que le signal est mis sous la forme s(x,t)=A0cos[kx+ψ(t)] avec ψ(t)=ωt+φ0 «s(x,t1)= A0cos[kx+ψ(t1)]=s(xδ,t0)=A0cos[k(xδ)+ψ(t0)]» d'où «[kx+ψ(t1)][k(xδ)+ψ(t0)]=0» «ψ(t1)ψ(t0) =kδ»
  15. Avec toutefois un léger décalage transversal de façon à ce que le 1er microphone ne fasse pas obstacle à l'onde sonore que doit recevoir le 2ème.
  16. Voir le T.p.4 intitulé « oscilloscope » associé à la leçon « Signaux physiques (PCSI) ».
    Modèle:AlOn choisit un niveau de déclenchement ni trop faible pour éviter qu'un signal parasite ne déclenche l'enregistrement, ni trop intense pour que l'enregistrement ne nécessite de taper très fort sur le socle.
  17. 17,0 et 17,1 Voir le T.p.4 intitulé « oscilloscope » associé à la leçon « Signaux physiques (PCSI) ».
  18. On s'attend à trouver 343ms1 à 20°C, elle ne serait que de 333ms1 à 0°C.
  19. Générateur Basse Fréquence.
  20. Pour que cette onde soit ultrasonore il faut une fréquence f>20kHz.
  21. Le déphasage serait nul s'il était possible que le récepteur 2 coïncide avec le récepteur 1, ce qui n'étant pas possible implique un déphasage ; de plus le signal reçu par le récepteur 2 est légèrement atténué relativement au signal reçu par le récepteur 1.
  22. On peut le vérifier plus aisément en réglant l'oscilloscope en fonctionnement (x,y), l'ellipse observée si les signaux ne sont pas en phase, se réduit à un segment de droite de pente positive quand ceux-ci deviennent en phase (voir le T.P.4 intitulé « oscilloscope » associé à la leçon « Signaux physiques (PCSI) »).
  23. 23,0 et 23,1 On rappelle que le signal qui est « physiquement » en avance sur l'autre est celui qui « coupe » l'axe des temps en en 1er sachant que, pour qu'il soit considéré comme « coupant » en en 1er, le décalage temporel doit être inférieur à T2 ;
    Modèle:Alsi le signal 1 « coupe » l'axe des temps en en 1er relativement au signal 2 on a Δφphys=(φ1φ2)phys>0 d'où le signe «+» sinon c'est un signe «».

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