Outils mathématiques pour la physique (PCSI)/Fonctions trigonométriques inverses

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Modèle:Chapitre


Rappel et additif sur les fonctions trigonométriques directes

Ce sont les fonctions sinus sin(), cosinus cos(), tangente tan() et cotangente cot() [1] :

Modèle:Alle domaine de définition est « pour les deux 1ères », «{π2+nπ,n} pour tangente » et «{nπ,n} pour cotangente » ;
Modèle:Al« les deux 1ères sont 2π-périodiques » et « les deux suivantes π-périodiques » ;
Modèle:Alelles sont « continues et dérivables sur leur domaine de définition », leurs dérivées étant respectivement :

Modèle:AlModèle:Transparent«d[sin(x)]dx=cos(x)=sin(x+π2)»[2],

Modèle:AlModèle:Transparent«d[cos(x)]dx=sin(x)=cos(x+π2)» [2],

Modèle:AlModèle:Transparent«d[tan(x)]dx=1cos2(x)=1+tan2(x)» [3] et

Modèle:AlModèle:Transparent«d[cot(x)]dx=1sin2(x)=[1+cot2(x)]» [4] ;
Modèle:Alles tracés sont rappelés ci-dessous [5].

Condition pour qu'une fonction soit inversible, notion de fonction bijective

Définition de fonction bijective

Modèle:AlUne fonction est « bijective » si et seulement si « tout élément du domaine des valeurs a un et un seul antécédent du domaine de définition » c.-à-d. encore « si tout élément du domaine des valeurs est image d'exactement un élément du domaine de définition » ;
Modèle:Alune fonction bijective est à la fois « injective » [6] et « surjective » [7].

Condition pour qu'une fonction soit inversible

Modèle:AlPour qu'une fonction soit inversible elle doit être bijective[8] :

  • si l'ensemble de départ est son domaine de définition et l'ensemble d'arrivée son domaine de valeurs, elle est nécessairement surjective[7] car tout élément du domaine de valeurs a au moins un antécédent dans le domaine de définition mais elle peut ne pas être injective[6] car des éléments du domaine des valeurs peuvent avoir plusieurs antécédents dans le domaine de définition (c'est le cas de la fonction « sinus » appliquant dans [1,+1])
  • si la fonction n'est pas injective[6] quand on considère son domaine de définition complet (cas de la fonction « sinus »), on peut restreindre le domaine de définition en maintenant le domaine des valeurs pour que la « fonction restreinte » devienne injective[6]Modèle:,[9], tout en restant surjective[7]Modèle:,[10].

Fonction inverse de la fonction sinus : fonction arcsinus

Modèle:Al« Pour que la fonction sin() soit inversible il faut restreindre son domaine de définition » de façon à ce que sa fonction restreinte soit « bijective »[8] et
Modèle:AlModèle:Transparentceci est réalisé pour un « domaine de définition restreint à [π2,+π2]» ;

Tracé du graphe de arcsin(x)

Modèle:Al«y=arcsin(x)fonction inverse dex=sin(y)», pour cette dernière le « domaine de définition étant restreint à [π2,+π2]» et
Modèle:AlModèle:Transparentle « domaine des valeurs restant [1,+1]» on en déduit
Modèle:AlModèle:Transparent« le domaine de définition de la fonction arcsin() [1,+1]» et
Modèle:AlModèle:Transparent« son domaine de valeurs [π2,+π2]» ;

Modèle:Altracé du graphe de la fonction y=arcsin(x) : voir ci-contre
Modèle:AlModèle:Transparent[le graphe de y=arcsin(x) est le symétrique de celui de x=sin(y) par rapport à la 1ère diagonale] ;

Modèle:Alon observe que la fonction est «»,
Modèle:AlModèle:Transparent« continue sur [1,+1]» et
Modèle:AlModèle:Transparent« dérivable sur ]1,+1[», sa dérivée valant «d[arcsin(x)]dx=11x2» ;

Modèle:Aljustification de la dérivée : on démontre ce résultat en inversant la fonction «y=arcsin(x) x=sin(y)» [11], puis
Modèle:AlModèle:Transparenten différenciant la fonction inversée, ce qui donne «dx=cos(y)dy» dont on tire
Modèle:AlModèle:Transparent«dy=dxcos(y) à condition que cos(y) ne soit pas nul », « réalisé si y±π2 ou x±1»[12],
Modèle:AlModèle:Transparenton termine en éliminant y au profit de x avec «cos(y)=1sin2(y)=1x2» [13] soit «dy=dx1x2 dont on déduit dydx=11x2» ;

Modèle:Alconséquence : on déduit de cette expression de dérivée de la fonction arcsin() qu'« une primitive de 11x2 est arcsin(x)+cste».

Fonction inverse de la fonction cosinus : fonction arccosinus

Modèle:Al« Pour que la fonction cos() soit inversible il faut restreindre son domaine de définition » de façon à ce que sa fonction restreinte soit « bijective »[8] et
Modèle:AlModèle:Transparentceci est réalisé pour un « domaine de définition restreint à [0,+π]» ;

Tracé du graphe de arccos(x)

Modèle:Al«y=arccos(x)fonction inverse dex=cos(y)», pour cette dernière le « domaine de définition étant restreint à [0,+π]» et
Modèle:AlModèle:Transparentle « domaine des valeurs restant [1,+1]» on en déduit
Modèle:AlModèle:Transparent« le domaine de définition de la fonction arccos() [1,+1]» et
Modèle:AlModèle:Transparent« son domaine de valeurs [0,+π]» ;

Modèle:Altracé du graphe de la fonction y=arccos(x) : voir ci-contre
Modèle:AlModèle:Transparent[le graphe de y=arccos(x) est le symétrique de celui de x=cos(y) par rapport à la 1ère diagonale] ;

Modèle:Alon observe que la fonction est «»,
Modèle:AlModèle:Transparent« continue sur [1,+1]» et
Modèle:AlModèle:Transparent« dérivable sur ]1,+1[», sa dérivée valant «d[arccos(x)]dx=11x2» ;

Modèle:Aljustification de la dérivée : on démontre ce résultat en inversant la fonction «y=arccos(x) x=cos(y)» [14], puis
Modèle:AlModèle:Transparenten différenciant la fonction inversée, ce qui donne «dx=sin(y)dy» dont on tire
Modèle:AlModèle:Transparent«dy=dxsin(y) à condition
Modèle:AlModèle:Transparentque sin(y) ne soit pas nul », « réalisé si y{0,+π} ou x±1»[15],
Modèle:AlModèle:Transparenton termine en éliminant y au profit de x avec «sin(y)=1cos2(y)=1x2»[16] soit «dy=dx1x2 dont on déduit dydx=11x2» ;

Modèle:Alconséquence : on déduit de cette expression de dérivée de la fonction arccos() qu'« une primitive de 11x2 est aussi arccos(x)+cste».

Modèle:Remarque

Fonction inverse de la fonction tangente : fonction arctangente

Modèle:Al« Pour que la fonction tan() soit inversible il faut restreindre son domaine de définition » de façon à ce que sa fonction restreinte soit « bijective »[8] et
Modèle:AlModèle:Transparentceci est réalisé pour un « domaine de définition restreint à ]π2,+π2[» ;

Tracé du graphe de arctan(x)

Modèle:Al«y=arctan(x)fonction inverse dex=tan(y)», pour cette dernière le « domaine de définition étant restreint à ]π2,+π2[» et
Modèle:AlModèle:Transparentle « domaine des valeurs restant » on en déduit
Modèle:AlModèle:Transparent« le domaine de définition de la fonction arctan() » et
Modèle:AlModèle:Transparent« son domaine de valeurs ]π2,+π2[» ;

Modèle:Altracé du graphe de la fonction y=arctan(x) : voir ci-contre
Modèle:AlModèle:Transparent[le graphe de y=arctan(x) est le symétrique de celui de x=tan(y) par rapport à la 1ère diagonale] ;

Modèle:Alon observe que la fonction est «»,
Modèle:AlModèle:Transparent« continue sur » et
Modèle:AlModèle:Transparent« dérivable sur », sa dérivée valant «d[arctan(x)]dx=11+x2» ;

Modèle:Aljustification de la dérivée : on démontre ce résultat en inversant la fonction «y=arctan(x) x=tan(y)» [17], puis
Modèle:AlModèle:Transparenten différenciant la fonction inversée, ce qui donne «dx=[1+tan2(y)]dy»
Modèle:AlModèle:Transparent«dy=dx1+tan2(y)»,
Modèle:AlModèle:Transparenton termine en éliminant y au profit de x avec «tan(y)=x» soit «dy=dx1+x2 dont on déduit dydx=11+x2» ;

Modèle:Alconséquence : on déduit de cette expression de dérivée de la fonction arctan() qu'« une primitive de 11+x2 est arctan(x)+cste».

Fonction inverse de la fonction cotangente : fonction arccotangente

Modèle:AlRemarque préliminaire : La fonction cot() étant très peu utilisée par rapport à la fonction tan(), il en est de même de leur fonction inverse, arccot() quasiment jamais utilisée par rapport à arctan(),
Modèle:AlModèle:Transparentla fonction arctan() suffisant amplement[18].

Modèle:Al« Pour que la fonction cot() soit inversible il faut restreindre son domaine de définition » de façon à ce que sa fonction restreinte soit « bijective »[8] et
Modèle:AlModèle:Transparentceci est réalisé pour un « domaine de définition restreint à ]0,+π[» ;

Tracé du graphe de arccot(x)

Modèle:Al«y=arccot(x)fonction inverse dex=cot(y)», pour cette dernière le « domaine de définition étant restreint à ]0,+π[» et
Modèle:AlModèle:Transparentle « domaine des valeurs restant » on en déduit
Modèle:AlModèle:Transparent« le domaine de définition de la fonction arccot() » et
Modèle:AlModèle:Transparent« son domaine de valeurs ]0,+π[» ;

Modèle:Altracé du graphe de la fonction y=arccot(x) : voir ci-contre
Modèle:AlModèle:Transparent[le graphe de y=arccot(x) est le symétrique de celui de x=cot(y) par rapport à la 1ère diagonale] ;

Modèle:Alon observe que la fonction est «»,
Modèle:AlModèle:Transparent« continue sur » et
Modèle:AlModèle:Transparent« dérivable sur », sa dérivée valant «d[arccot(x)]dx=11+x2» ;

Modèle:Aljustification de la dérivée : on démontre ce résultat en inversant la fonction «y=arccot(x) x=cot(y)» [19], puis
Modèle:AlModèle:Transparenten différenciant la fonction inversée, ce qui donne «dx=[1+cot2(y)]dy»
Modèle:AlModèle:Transparent«dy=dx1+cot2(y)»,
Modèle:AlModèle:Transparenton termine en éliminant y au profit de x avec «cot(y)=x» soit «dy=dx1+x2 dont on déduit dydx=11+x2» ;

Modèle:Alconséquence : on déduit de cette expression de dérivée de la fonction arccot() qu'« une primitive de 11+x2 est aussi arccot(x)+cste».

Modèle:Remarque

Simplification de fonction composée de grandeurs trigonométriques directe et inverse

Modèle:AlNous nous proposons de simplifier des expressions du genre «cos[arcsin(x)]» ou «sin[arctan(x)]»[20]

Présentation de la méthode de simplification sur le premier exemple

Modèle:AlSoit à simplifier «cos[arcsin(x)]» :

Modèle:AlPosant «α=arcsin(x)», on cherche donc à « évaluer cos(α) en fonction de x»[21] ;

Modèle:Al« l'inversion de α=arcsin(x) conduit à x=sin(α)», avec «α[π2 ; π2] dont on déduit cos(α)0» ;

Modèle:Alil reste alors à utiliser le lien entre « ce qu'on cherche à évaluer

cos(α)

» et « ce qu'on connaît

sin(α)=x

» par
Modèle:AlModèle:Transparent«

cos2(α)+sin2(α)=1

» dont on tire «

|cos(α)|=1sin2(α)

» et comme

cos(α)

est

0

,
Modèle:AlModèle:Transparent«

cos(α)=1sin2(α)

» soit, avec

sin(α)=x

, «

cos(α)=1x2

» ou finalement

«cos[arcsin(x)]=1x2».

Développement de la méthode de simplification sur le deuxième exemple

Modèle:AlSoit à simplifier «sin[arctan(x)]» :

Modèle:AlPosant «α=arctan(x)», on cherche donc à « évaluer sin(α) en fonction de x»[22] ;

Modèle:Al« l'inversion de α=arctan(x) conduit à x=tan(α)», avec «α]π2 ; π2[», «sin(α) étant de signe quelconque » mais «cos(α) étant quant à elle >0» ;

Modèle:Alil reste alors à utiliser le lien entre « ce qu'on cherche à évaluer sin(α)» et « ce qu'on connaît tan(α)=x» soit
Modèle:AlModèle:Transparent«sin(α)=tan(α)×cos(α)»,
Modèle:AlModèle:Transparentcos(α) s'exprimant en fonction de tan(α) par 1cos2(α)=1+tan2(α) «|cos(α)|=11+tan2(α)» ou, avec cos(α)>0,

Modèle:AlModèle:Transparent«cos(α)=11+tan2(α)» d'où

Modèle:AlModèle:Transparent«

sin(α)=tan(α)1+tan2(α)

» soit, avec

tan(α)=x

, «

sin(α)= x1+x2

» ou finalement

«sin[arctan(x)]=x1+x2».

Notes et références

  1. Cette dernière étant très peu utilisée.
  2. 2,0 et 2,1 Cette dernière expression peut se déduire d[exp(ix)]dx=iexp(ix)=exp[i(x+π2)] soit, en en prenant la partie imaginaire (respectivement la partie réelle) et sachant que la dérivée de la partie imaginaire (respectivement de la partie réelle) est la partie imaginaire (respectivement de la partie réelle) de la dérivée, la dernière expression énoncée concernant la dérivée de sin(x) ou de cos(x).
  3. On dérive tan(x)=sin(x)cos(x) comme un quotient et on obtient d[tan(x)]dx=cos(x)cos(x)sin(x)[sin(x)]cos2(x) soit, en utilisant cos2(x)+sin2(x)=1, d[tan(x)]dx=1cos2(x) d'une part, et d'autre part en remplaçant 1 par cos2(x)+sin2(x) et en distribuant le dénominateur d[tan(x)]dx=cos2(x)cos2(x)+sin2(x)cos2(x)=1+tan2(x) ; ces deux expressions sont à connaître.
  4. La fonction cotangente est liée à la fonction tangente par cot(x)=1tan(x) ; du caractère de la fonction tangente sur les intervalles continus où elle est définie, et donc de la positivité de sa dérivée, on en déduit que la fonction cotangente est sur les intervalles continus où elle est définie et que sa dérivée est négative d'où le signe «» précédant 1sin2(x) ;
    Modèle:Alon établit l'expression de la dérivée en dérivant cot(x)=cos(x)sin(x) comme un quotient et on obtient d[cot(x)]dx= sin(x)[sin(x)]cos(x)cos(x)sin2(x) ou, avec cos2(x)+sin2(x)=1, d[cot(x)]dx=1sin2(x) d'une part, et d'autre part en réintroduisant sin2(x)+cos2(x) et en distribuant le dénominateur sin2(x) on obtient d[cot(x)]dx=[sin2(x)sin2(x)+cos2(x)sin2(x)]= [1+cot2(x)] ; ce résultat est beaucoup moins important que le précédent.
  5. On remarque que les fonctions « sinus », « tangente » et « cotangente » sont impaires, alors que la fonction « cosinus » est paire.
  6. 6,0 6,1 6,2 et 6,3 Une fonction est injective si tout élément du domaine des valeurs a au plus un antécédent du domaine de définition ; la fonction « sinus » appliquant dans [1,+1] n'est pas injective car tout élément de [1,+1] possède une infinité d'antécédents.
  7. 7,0 7,1 et 7,2 Une fonction est surjective si tout élément du domaine des valeurs a au moins un antécédent du domaine de définition ; la fonction « sinus » appliquant dans [1,+1] est surjective car tout élément de [1,+1] possède au moins un antécédent ;
    Modèle:Alsi l'ensemble de départ est le domaine de définition et l'ensemble d'arrivée le domaine des valeurs, une fonction est nécessairement surjective mais
    Modèle:Alsi l'ensemble de départ est restreint en maintenant l'ensemble d'arrivée confondu avec le domaine de toutes les valeurs possibles, par exemple la fonction sinus considérée comme appliquant [0,+π2] dans [1,+1], l'application peut ne pas être surjective et c'est le cas sur l'exemple de l'application sinus appliquant [0,+π2] dans [1,+1] non surjective car aucun élément de [1,0[ n'a d'antécédent dans [0,+π2].
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 et 8,4 Voir le paragraphe « définition de fonction bijective » plus haut dans ce chapitre.
  9. La restriction du domaine de définition doit être telle que tout élément du domaine des valeurs ait au plus un antécédent dans le domaine restreint : par exemple la fonction « sinus » restreinte au domaine de définition [π2,+π2], l'ensemble d'arrivée restant [1,+1].
  10. Attention à ne pas trop restreindre le domaine de définition de façon qu'il n'existe aucun élément du domaine des valeurs n'ayant plus d'antécédent dans le domaine de définition restreint :
    Modèle:Alpar exemple la fonction « sinus » restreinte au domaine de définition [0,+π2], l'ensemble d'arrivée restant [1,+1], est certes injective car tout élément de [1,+1] a au plus un antécédent dans [0,+π2] (en effet l'antécédent existe et est unique si l'élément d'arrivée [0,+1] et l'antécédent n'existe pas si l'élément d'arrivée [1,0[) mais n'est plus surjective Modèle:Nobr élément de [1,0[ n'ayant d'antécédent dans [0,+π2]).
  11. L'équivalence n'étant correcte que pour x[1;+1] et y[π2;+π2].
  12. D'où le domaine de dérivabilité de la fonction arcsin() restreint à ]1,+1[.
  13. y]π2,π2[ cos(y) est >0 d'où cos(y) égal à +1sin2(y).
  14. L'équivalence n'étant correcte que pour x[1;+1] et y[0;+π].
  15. D'où le domaine de dérivabilité de la fonction arccos() restreint à ]1,+1[.
  16. y]0,π[ sin(y) est >0 d'où sin(y) égal à +1cos2(y).
  17. L'équivalence n'étant correcte que pour x et y]π2;+π2[.
  18. Toutefois, pour des raisons de symétrie d'exposé, l'introduction est faite, mais vous ne l'utiliserez vraisemblablement jamais.
  19. L'équivalence n'étant correcte que pour x et y]0;+π[.
  20. Ces deux exemples quelconques devraient suffire pour présenter la méthode de simplification.
  21. Le fait de baptiser α la fonction arcsin(x) va permettre de préciser « son domaine de valeurs plus simplement α[π2 ; π2]», « son domaine de définition étant x[1 ; +1]».
  22. Le fait de baptiser α la fonction arctan(x) va permettre de préciser « son domaine de valeurs plus simplement α]π2 ; π2[», « son domaine de définition étant x».

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